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  • Liste LES EUROPEENS SUD EST

     Vos candidats (2 haut-savoyards parmi eux) :


    1 | Sylvie GOULARD
    Députée européenne

    2 | Thierry CORNILLET
    Avocat

    3 | Soumia BELAIDI MALINBAUM
    Chef d’entreprise

    4 | Pierre POLES
    Conseiller municipal d’Annecy
    (Haute-Savoie)

    5 | Karine FENOCCHI
    Assureur (Corse)

    6 | Childéric MULLER
    Producteur TV (Bouches-du-Rhône)

    7 | Sylvie PELLAT-FINET
    Conseillère régionale, conseillère
    municipale de Grenoble (Isère)

    8 | Lionel BOUCHER
    Adjoint au maire de Saint-Etienne
    (Loire)

    9 | Josy CHAMBON
    Cadre de santé (Var)

    10 | Nicolas PÉLISSIER
    Conseiller municipal de Cannes
    (Alpes-Maritimes)

    11 | Anne PELLET
    Chef d’entreprise (Rhône)

    12 | Julien AYOUN
    Avocat (Bouches-du-Rhône)

    13 | Sandrine CASTELLANO
    Première adjointe au maire
    d’Ambérieu-en-Bugey (Ain)

    14 | Raynald VIAL
    Conseiller municipal
    d’Aix-les-Bains (Savoie)

    15 | Chantal PORTUESE
    Adjointe au maire d’Hyères (Var)

    16 | André VERCIN
    Ingénieur en urbanisme
    (Haute-Savoie)

    17 | Michèle CEDRIN
    Première adjointe au maire
    de Vienne (Isère)

    18 | André LÖSEKRUG-PIETRI
    Chef d’entreprise (Corse)

    19 | Amandine MOLLIER
    Cadre d’entreprise (Ardèche)

    20 | André SEIGNON
    Juriste (Vaucluse)

    21 | Magali DIDIER-CASALTA
    Enseignante (Ardèche)

    22 | Jacques FAYETTE
    Retraité de l’enseignement
    supérieur (Rhône)

    23 | Ghislaine CELDRAN
    Chef d’entreprise (Loire)

    24 | Patrice SCHOENDORFF
    Médecin (Rhône)

    25 | Chantal EYMEOUD
    Maire d’Embrun, conseillère
    régionale (Hautes-Alpes)

    26 | Michel MERCIER
    Maire de Thizy les Bourgs, ancien
    ministre (Rhône)

    SYLVIE GOULARD

    Tête de liste

    SYLVIE GOULARDNée à Marseille, la députée européenne sortante Sylvie GOULARD est licenciée en droit à l’université d'Aix-en-Provence (1984), diplômée de l’institut d'études politiques de Paris (1986) et de l’ENA (1989). Elle entre au ministère français des Affaires étrangères (1989-1999), poursuit sa carrière au sein du Centre d'études et de recherches internationales (1999-2001) et devient conseillère du président de la Commission européenne, Romano Prodi, en 2001. Elle préside le Mouvement Européen-France pendant 4 ans et est élue députée européenne en 2009 (Commission des affaires économiques et monétaires). Elle préside l’intergroupe Extrême pauvreté et droits de l’homme, comité Quart Monde. Elle est l’auteur de nombreux ouvrages et publications telles que De la démocratie en Europe, co-écrit avec Mario Monti ou encore L’Europe pour les nuls. Sylvie GOULARD est un membre fondateur, avec Guy VERHOFSTADT, du Groupe Spinelli, une initiative destinée à promouvoir une Europe plus unie et plus démocratique. Elle est titulaire de la Croix du mérite de la République fédérale allemande.

    En savoir plus
  • Covoiturage pour la grande réunion publique à La Sucrière - Lyon" ce mercredi 30 avril 19h.

    Info de dernière minute !
    Il reste des places (co-voiturage) pour se rendre à ce meeting de ce soir.


    Au départ de :
    SALLANCHES
    CLUSES
    LA ROCHE SUR FORON
    ANNECY
    Coût par personne : 20 euros (aller/retour).

    Contacts :
    Jean-Charles VANDENABEELE et Angélique PERINET
    Co-Présidents MoDem 74
    Réservez votre place de covoiturage
    uniquement par téléphone avant 15h30 au 06 82 38 95 07.

    Rencontre avec nos candidats
    Les #Européens

    Mercredi 30 avril, à 19 heures,
    à Lyon

    La Sucrière - Quai Rambaud - 69002 Lyon


    Chers amis,

    J'ai le plaisir de vous convier à notre deuxième grande réunion publique qui se tiendra dans la circonscription Sud-Est, autour de notre tête de liste Sylvie Goulard et en présence de :


    François Bayrou, président du MoDem
    Guy Verhofstadt, candidat à la présidence de la Commission européenne
    Michel Mercier, ancien Garde des Sceaux
    Yves Jégo, président de l'UDI
    Hervé Morin, président du Conseil national de l'UDI


    Vous trouverez en cliquant sur ce lien le carton d'invitation.


    Nous comptons sur votre participation et sur votre capacité à mobiliser votre entourage ! Merci de bien vouloir confirmer votre présence en nous adressant vos coordonnées par courriel à l'adresse : inscription@leseuropeens.eu

    Bien amicalement,

    Marc Fesneau
    Secrétaire général du Mouvement Démocrate

     

     

     

  • Flash info

    Sylvie GOULARD et Thierry CORNILLET, candidats aux élections européennes, seront présents en Haute Savoie le mercredi 7 mai prochain.

  • Info Médias

    Sylvie GOULARD, tête de liste LES EUROPEENS pour la région SUD EST, débattra ce soir à 22:50 dans l'émission MOTS CROISES sur FRANCE 2 :

    "Valls : des paroles aux actes" :
    http://www.france2.fr/emissions/mots-croises/videos/NI_5381

     

  • Interview de Marielle de SARNEZ dans Europolitique : « Guy Verhofstadt est de loin le meilleur candidat ! »

    Interview donnée par Marielle de SARNEZ au journal "europolitique".

    Par  Nathalie Vandystadt 

    Pour la candidate démocrate (MoDem)1, tête de liste en Ile-de-France, le libéral belge fera entendre sa différence dans la course à la présidence de la Commission européenne.

     

    Est-il encore temps d’éviter l’abstention et une montée des partis populistes ?

     

    Il faut utiliser le temps de la campagne pour expliquer combien l’avenir de l’Europe est important et combien les citoyens doivent en décider eux-mêmes. La montée des populismes est réelle. Les citoyens ne se sentent pas partie prenante des décisions qui se prennent au sein de l’Union européenne. Il faut que ça change. Il est de la responsabilité des Européens d’incarner une volonté politique nouvelle, en rappelant que l’Europe est la seule réponse si nous voulons sauvegarder notre modèle de société, défendre nos valeurs, conserver notre place dans le monde. Il nous faut donc construire une Europe plus efficace et plus démocratique.

     

    Quelle place existe-t-il pour Guy Verhofstadt (ADLE) face à Jean-Claude Juncker (PPE) et Martin Schulz (PSE) ?

     

    Pour présider la Commission, il nous faut un grand Européen, convaincu, compétent, polyglotte. Quelqu’un d’expérience car nous sommes dans un moment de crise, mais qui ait en même temps l’énergie et l’envie d’incarner un projet européen refondé. J’ai donc la conviction que, pour l’intérêt général européen, le meilleur candidat – et de loin ! – est Guy Verhofstadt. Et je refuse l’idée que le choix ne devrait se faire, pour des raisons purement politiciennes, qu’entre le candidat des conservateurs et celui des socialistes. Une surprise est possible. Il va y avoir des débats télévisés. On va entendre la différence et Guy Verhofstadt sera, j’en suis sûre, le plus attractif des trois.

     

    Quelles sont ces différences ?  

     

    Pour nous, les premières priorités sont la croissance et l’emploi. Il faut davantage d’intégration entre les pays de la zone euro, et une politique économique équilibrée. Il n’est pas responsable de laisser se creuser les déficits, il faut donc du sérieux budgétaire. Dans le même temps, la zone euro doit se doter de nouveaux instruments au service de la croissance : nous voulons des « project bonds » dédiés à l’investissement européen. Nous voulons mobiliser l’épargne européenne au service de l’investissement des PME, créer de nouveaux géants industriels, des « Airbus » dans des domaines d’avenir et de croissance, et mutualiser certains moyens, par exemple en matière de recherche et d’innovation pour que l’Europe conserve son avance.

     

    La France devrait-elle obtenir un nouveau délai auprès de l’UE pour combler son déficit public ?

     

    Trop souvent, la France a fait de l’Europe le bouc émissaire de tous ses maux, que le gouvernement soit de droite ou de gauche. Notre pays doit affronter ses propres difficultés, et y répondre en menant à bien les réformes de structure nécessaires au redressement de notre économie. Des délais utilisés pour réformer durablement ce qui doit l’être peuvent être profitables. Mais, si c’est pour pratiquer une fuite en avant, sans engager les réformes nécessaires, alors cette politique est mauvaise et nous conduira droit dans le mur. La question qui se pose en France est celle de la crédibilité des discours et des engagements.

     

    Vous dites que l’axe franco-allemand « ne doit pas être le seul mantra européen »…

     

    L’axe franco-allemand est très important, mais il faut des alliances plus larges. En outre, s’il existe une vision allemande de l’Europe, incarnée par Angela Merkel, à l’évidence, il manque une vision française de l’Europe. Or, on a besoin de confronter les visions des grands pays d’Europe, pour ensuite faire émerger une vision commune.  

     

    Quelles sont vos priorités ?

     

    Aujourd’hui, les citoyens ont trop souvent le sentiment que l’Europe n’est là que pour produire des normes. Il faut passer à autre chose, à des stratégies économiques, industrielles, budgétaires, de politique étrangère, de politiques migratoires, de co-développement, avec l’Afrique en premier lieu, qui sera le continent de toutes les croissances. Autre grande attente des citoyens : que l’Europe soit plus claire, plus lisible, plus démocratique. Qu’elle ne se fasse plus en catimini. Voilà un des enjeux essentiels de cette élection : les citoyens doivent peser sur les choix européens.

     

    Le projet d’accord de libre-échange avec les Etats-Unis (TTIP) peut aussi effrayer…

     

    L’absence de débat public autour du TTIP, notamment en France, n’est pas une bonne chose. Au Congrès américain, ce projet fait l’objet de très nombreux débats. Ce n’est pas le cas en Europe, pas plus au sein des parlements nationaux, que des gouvernements. Le travail utile du Parlement européen ne suffit pas. Il faut une prise de conscience dans nos pays, car les Européens ont, dans cet accord, des intérêts majeurs à défendre, dans tous les domaines, culturels, mais aussi agricoles, normatifs...

     

    Comment voyez-vous l’ADLE évoluer ?

     

    L’ADLE sera, au Parlement européen, le groupe central avec lequel il faudra compter. Pour la désignation du président de la Commission, comme pour toutes les grandes orientations des cinq prochaines années. Plus rien ne pourra se décider sans nous. C’est une bonne nouvelle pour tous les démocrates européens !