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  • "Je réclame une politique d’urgence, pour que ceux qui sont en première ligne, et je vais donner leur définition : ceux qui signent des contrats de travail, ceux qui ont du travail, ceux qui créent du travail pour les autres."

    Ecouter l'émission de mardi soir sur Public Sénat.

     

  • François Bayrou a jugé le président de la République "compétent et connaissant ses dossiers", jeudi soir sur France 2, mais "la ligne politique manque toujours".

    "Une politique c'est l'expression d'une volonté, d'un rassemblement ou d'une fédération des forces, et de ce point de vue-là, cela manquait encore hier soir." François BAYROU

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  • "De la vérité en politique", sortie du dernier livre de François BAYROU

    François Bayrou

    "François Bayrou était l'invité du Grand Journal de Canal Plus, mercredi 13 mars, à l'occasion de la sortie de son livre, De la vérité en politique. Une émission bouleversée par l'apparition en direct de la fumée blanche au dessus de la Chapelle Sixtine.

    François Bayrou, nous sommes entre nous, nous voulons la vérité, toute la vérité, rien que la vérité. Pour un homme politique de premier plan que vous êtes, qui s’est fait étonnamment discret ces derniers temps, au-delà du cours de philosophie qui est passionnant dans ce livre, n’est-ce pas tout simplement un moyen de vous remettre en selle et de revenir?"
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    De la vérité en politique

  • Info média

    François BAYROU sera ce soir l'invité de l'émission Le Grand Journal de Canal+, à suivre en direct et en clair à partir de 19h10, et sur internet au lien suivant.

  • "La vérité ne se fera entendre que lorsque le pluralisme aura droit de cité" François BAYROU

    "Pourquoi est-ce qu'on ment en France depuis vingt ans et que dans les pays qui nous entourent, on a pu faire les réformes? Ce n'est pas seulement la lâcheté des hommes politiques. C'est que nos institutions sont organisées de telle sorte qu..."

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  • Dominique Dord évolue sur le Lyon Turin

    Dominique DORD, Député-Maire d’Aix les Bains, vient de faire part de l’évolution de son point de vue sur le projet Lyon-Turin. Selon lui, ce projet n’est plus défendable en raison de prévisions de trafic qui ne sont plus crédibles, d’un financement inabouti et  de flux de marchandises qui n’ont pas évolué selon les tendances retenues.
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  • "Pour retrouver la confiance des peuples, l'Europe doit se réformer" Marielle DE SARNEZ

     
     François Bayrou

    Face à la montée du discours populiste, Marielle de Sarnez appelle les responsables européens à maintenir leurs objectifs de réduction des déficits. En France comme en Europe, elle prône la méthode de "la réforme", fondée sur trois piliers indispensables : "plus de démocratie, plus de solidarité et plus d'efficacité".
    "Au lendemain d’élections italiennes dont le résultat a réjoui les plus europhobes et inquiété les plus europhiles, il nous faut regarder les choses en face : une proposition politique se développe affirmant qu’il est possible pour les pays européens de choisir à nouveau l’aggravation volontaire des déficits. Cela a été à la fois la campagne Berlusconi et la campagne Grillo. Si nous appelons les choses par leur nom, cette proposition est pour les pays très endettés une impasse, puisqu’elle conduit à l’explosion des taux d’intérêt. C’est aussi et spécialement vrai pour la France où l’on entend à nouveau des discours de cet ordre.

    Nous sommes le seul pays dont le déficit dit 'primaire', avant charge de la dette, atteint un niveau proche à lui seul des 3 pour cent du PIB. Nous ne pouvons plus soutenir aujourd’hui une dépense publique, quasiment la plus haute d’Europe, 57 pour cent de notre PIB, qui pèse sur notre Etat, le rendant souvent inefficace, crée avec l’empilement de nos collectivités locales un maquis incompréhensible, bien loin des préoccupations de nos concitoyens, et ne garantit ni la pérennité ni la qualité de notre système de protection sociale.

    C’est à ces déséquilibres qu’il faut s’attaquer, bien plus vigoureusement qu’on ne l’a fait depuis une décennie, car c’est la seule façon de protéger demain notre modèle social, de libérer créativité et initiatives, de soutenir la production, d’accompagner durablement nos PME.

    La France doit se réformer, pour retrouver de la croissance, se donner des marges de manœuvre, et offrir à nos compatriotes des perspectives d’avenir.

    Cette même question vaut pour l’Europe. Pour retrouver la confiance des peuples, l’Europe doit se réformer.

    Elle doit devenir plus démocratique. Les citoyens ont le sentiment que l’Europe agit sans eux, et même contre eux. Ils ignorent les méandres qui conduisent à la prise de décision. Méconnaissent la complexité du 'triangle institutionnel'. Ne se retrouvent pas dans les dirigeants de l’Union, dont ils ignorent d’ailleurs les noms et les visages. Et considèrent le plus souvent que les décisions sont prises par une sorte de 'Troïka' dont ils ne savent rien. Ceci doit cesser. L’Europe doit sortir de l’anonymat. Avec des dirigeants élus. Et des Etats membres assumant publiquement leurs positions, s’impliquant dans un destin collectif, et s’appropriant les choix européens.

    Elle doit devenir plus solidaire. On le voit dans la crise de la dette souveraine, ce qui a le plus manqué, c’est l’esprit de solidarité. Les efforts de discipline budgétaire consentis par les peuples doivent aller de pair avec la création d’instruments de solidarité effective, tels que la mutualisation de la dette, la création d’euro-obligations, la création d’une ressource propre pour son budget, l’harmonisation fiscale et sociale, et une meilleure péréquation.

    Elle doit devenir plus efficace. Et retrouver une capacité à décider. Qui ne voit que nous aurions grandement besoin d’une implication commune et coordonnée dans le domaine de la recherche, d’investissements collectifs dans les infrastructures de transports, de stratégie cohérente en matière d’énergie ? Qui ne voit que nous avons besoin de mener, tous ensemble, une politique énergique et volontariste d’industrialisation ? On peut le faire en mutualisant une part des budgets nationaux consacrée à l’investissement. On peut le faire aussi en faisant appel à l’épargne européenne. Il s’agit simplement de le vouloir."